COMMISSION NATIONALE DE NEGOCIATIONS DU
28 JUILLET 2011
COMPTE RENDU rédigé par SUDCAM au fil
de leau
FNCA (représentée par M
CHERAMY)
DELEGATION SUDCAM :
Christian BRIAUD, Véronique RAMPILLON, Gilles BLANC, Luc GENAY
DELEGATIONS AUTRES SYNDICATS :
CFDT, CGT, FO, SNECA/CGC, SNIACAM, UNSA
ORDRE DU JOUR :
Ø
OPCA,
Ø
Emploi Travailleurs Handicapes
Ø
Travail à Temps Partiel
Ø
Temps De Travail ,
Ø
Dialogue Social,
Ø
Restructurations Et Regroupements De Moyens
Ø
Gestion Des Ressources Humaines Tout Au Long De La Vie
Professionnelle
Ø
Aménagement des Fins de Carrière :
—–
CGT : demande si un
point sur la crise Grecque est prévu, ainsi que les conséquences sur nos CR.
Quelle communication auprès des CR, des salariés ?
Mr CHERAMY (FNCA) :
une intervention est prévue pour la CPC du 28 septembre. Il est prévu de répondre
favorablement à cette demande. Lordre du jour étant chargé, il va falloir
éviter de refaire ce qui a été fait lors des séances précédentes.
I
OPCA :
Mr CHERAMY fait un bref rappel
sur ce qui a été fait lors des séances précédentes. OPCALIA a été choisi.
Il faut conclure un accord qui désigne lOPCA et faire une demande dagrément
de lAGECIF-CAMA. Le 21 juillet, une réunion a permis de conclure un accord
avec les 3 familles composant lAGECIF-CAMA (CA, MSA et GROUPAMA).
Un document rappelant les
principes retenus au sein du GDFPE est remis en séance.
Le projet daccord prévoit
une intention dadhésion, ce qui ne signifie pas une certitude dêtre
retenu. Pour pouvoir y prétendre, il faut un accord.
Si nous nadhérons pas à
laccord constitutif dOPCALIA, il nous sera impossible davoir un opérateur
délégué. Mais ce nest pas parce quon signe lintention dadhérer
que nous serons retenus.
UNSA : quand
aurons-nous cette décision ?
FNCA : la décision
nous appartient. Les réponses à la demande dagrément viendront à
lautomne.
UNSA : on part un
peu à laventure. On part avec un OPCA ; ce qui signifie quon nira
pas en chercher un autre.
FNCA : on a
lassurance écrite dOPCALIA davoir un opérateur délégué. Ils sont
confiants, mais la décision revient aux pouvoirs publics. Un refus dagrément
dOPCALIA nest pas envisageable.
UNSA : quen
est-il de la maitrise du paritarisme dans ce dossier ?
FNCA : les pouvoirs
publics considèrent que les opérateurs délégués pourraient ne pas être
paritaires. Fait confiance aux confédérations pour défendre le caractère
paritaire.
UNSA : un document
de travail signé par OPCALIA, dans lequel il y avait des engagements. On
nentend pas parler de ce document.
FNCA : il ny a
aucune volonté du CA de remettre en cause le caractère paritaire. On
sassure que les engagements pris initialement sont toujours respectés. On
est contraint par le temps. Lidéal est de signer dans les prochains jours.
En cas de refus de signature, les fonds seront versés là où on nous dira.
Nous naurons pas été maitres de notre destin.
Mr CHERAMY : la
signature signifie : veut-on être dans le jeu ou non ? Si on ne signe
pas, on est sûr dêtre en dehors.
Suspension
de séance à 10h53.
Pendant linterruption, les OS
font une déclaration, dans laquelle lurgence est dénoncée et la
responsabilité dun échec rejetée sur les OS. Cest en contradiction avec
le débat sur le dialogue social.
Reprise
à 11h20 : UNSA lit la déclaration.
II
EMPLOI TRAVAILLEURS HANDICAPES :
Annexe sur la pesée financière.
Le ministère a donné son feu vert pour le report des sommes non utilisées
dans laccord précédent, sur le nouvel accord. Un avenant est nécessaire
pour acter la modification. Cet avenant est soumis à agrément. Il ny a pas
de modification dans la répartition des budgets.
Les sommes reportées sont lissées
sur les 5 ans du nouvel accord. Le budget global cumulé est de 31 millions deuros.
Ces dispositions ont été actées en conseil dadministration dHECA et en
consultation avec les OS signataires.
SUDCAM nayant pas signé laccord
initial, ne signera pas cet avenant.
III
TRAVAIL A TEMPS PARTIEL :
Mr CHERAMY : nous
sommes dans une phase conclusive. Cet accord arrive à échéance le 31 décembre
2011.
La démarche reste conforme aux
principes des échanges sur le dialogue social. Le projet daccord reprend les
observations faites.
Amendements intégrés au texte :
ü
Préambule : modification relative à la modification du code
du travail
ü
Entité remplacé par Caisse Régionale
Amendements non retenus :
ü
Article 6 : délai de consultation des DP : pas de délai
prévu car il faut que toutes les solutions individuelles aient été examinées
avant la consultation.
ü
Rémunération : proportionnelle à la durée du temps de
travail.
ü
Art 15 alinéa 3 : salarié à temps partiel pour
lexercice dun mandat IRP. Cette disposition est issue dune
disposition légale.
Propose une durée daccord de
5 ans.
SUDCAM : sur la réflexion que nous
avions faites lors de la dernière séance qui disait quil fallait faire en
sorte que le temps partiel ne devienne pas source de précarité suite à un
temps de travail trop court, nous navons pas de réponse.
Mr CHERAMY : ne sait
pas comment rédiger, mais partage lobjectif.
CGT : vous proposez
de signer un nouvel accord sur des bases qui ont montré leur impossibilité
dapplication. Dans toutes les CR, le nombre de refus des demandes de temps
partiel explose. Cet accord a fait la démonstration quil ne pouvait pas
sappliquer.
CFDT : il faut faire
le lien avec les fins de carrière et la possibilité de cotisation à taux
plein. Ces sujets ne doivent pas être évacués. Souhaite que lorsquil y a
des modifications de lorganisation qui impactent les travailleurs à temps
partiel, il ny ait pas dimpact sur les salaires : les salariés
doivent être vu au préalable.
CFDT : Article 8 :
la rédaction peut poser un problème. Les 2 alinéas : rajouter :
« ou dans une localité proche », afin limiter les effets dune
mobilité.
Ne comprends pas le 1er
alinéa. Cest lemploi qui est occupé actuellement et non lancien
emploi. La rédaction laisse à penser que le salarié est parti, alors quil
est toujours présent.
Mr CHERAMY comprends le
sens de la demande.
FO : possibilité de
cotiser sur une base à temps plein. Cette possibilité est offerte par la législation.
Page 3, art. 6 : demande de
travail à temps partiel. Souhaite rajouter « à défaut la demande sera
considérée acceptée.
Rajout sur la page 7 :
souhait dune attention particulière sur les réunions organisées sur le
jour dabsence. Il faut que les salariés à temps partiel puissent bénéficier
de linformation.
SNECA-CGC : il faut
prévoir des remplacements dans les unités où il y a plusieurs temps partiels.
CGT : apporte sa
contribution malgré une non signature, dans la rédaction de larticle 8
SUDCAM : propose de rédiger
larticle 8 : « continue son activité dans son ancien
poste
.sauf impossibilité »
SNIACAM : regrette
quaucune de ses demandes nait été prise en compte, notamment concernant
la médaille du travail. La prime ne doit pas être proratée, et un accord ne
peut changer la convention collective.
PAUSE
DEJEUNER A 12H20
Reprise : Mr CHERAMY
apporte des réponses aux interventions du matin.
ü
Précarité et seuil minimum : la
situation du temps partiel est passée de 11,4 à 11,8 %. Le temps
partiel est un temps choisi. Nenvisage pas dentrer dans la logique de
seuil minimum, même si partage que le temps partiel ne soit pas celui pratiqué
dans dautres secteurs dactivité. Ne sera pas inscrit dans un accord, mais
dans une logique de non précarisation liée au temps partiel.
ü
Propose de rajouter à lart 6 dernier alinéas : « au
plus tard dans un délai de 3 mois à compter du refus »
ü
Cotisation à taux plein : non retenu : logique de choix
individuel. Equité de traitement. Le salarié bénéficie de dispositions légales.
ü
Impact lié à modification dhoraires : ces aspects relèvent
du contrat de travail. Le process qui conduit à une évolution dhoraire,
donc dévolution du contrat de travail, doit prévoir didentifier les
impacts. Il y a nécessité de voir les salariés en amont.
ü
Durée de 5 ans : possibilité de revoir en cas de
modifications législatives. Si la demande vient des partenaires sociaux, peut
être intégré dans le cadre des négociations annuelles.
ü
Art 6 : non réponse dans les 30 jours vaut accord : non
retenu. Lobligation de réponse ne nécessite pas une clause de rappel. Il y
a obligation de répondre dans les 30 jours.
ü
Assurer linformation en cas de réunion sur un jour dabsence :
partage cette préoccupation, qui se pose aussi pour les congés, maladie
la
multiplicité des situations complexifie la réponse : difficile
dinscrire dans le cadre dun accord de branche. A voir dans le cadre de
lobservatoire des conditions de travail pour apporter réponse.
ü
Remplacements : ce sont des questions dorganisation
propres aux CR : non intégré dans laccord.
ü
Médaille du travail : maintien de la position de la FNCA
ü
Article 8 : une synthèse des propositions a été faite.
Reprise dune proposition plus proche de ce que souhaite la FNCA.
CGT : temps partiel
des fins de carrière soit ouvert à négociation.
FO : la cotisation
à temps plein nest pas une demande de prise en charge.
SUDCAM : pour la
retraite, le calcul de lancienneté se fait sur le temps effectué (les années
de présence). Il nay a pas de raisons que la prime soit proratée. Nous
sommes en désaccord avec lassiette (article 11-3).
Mr CHERAMY : la règle
va être reprécisée : le calcul se fait sur la prise en compte des périodes
à temps plein et à temps partiel. Il y a aussi lassiette. Un projet
daccord va être transmis.
SUDCAM était signataire, sera
signataire sous réserve de consultation et de la rédaction.
IV
TEMPS DE TRAVAIL :
Mr CHERAMY : 2
questions principales ont été évoquées lors de la CNN de juin :
–
Organisation sur 4,5 jours avec fermeture le samedi après midi
–
Extension du forfait jour.
Le 1er point a soulevé
un certain nombre de réserves. Il a été décidé de ne pas poursuivre ce débat,
avec regret car aurait permis dharmoniser les processus dans les CR. Du fait
de labandon du 1er point, il semble important détendre le
forfait jour à dautres populations.
Présentation dun document
sur le forfait. Propose de faire bénéficier lensemble des salariés de la
classe F (nécessité de reconnaissance des fonctions exercées et de
lautonomie). Besoin de souplesse dans lorganisation, vis-à-vis des
clients et des horaires de travail.
CFDT : réaction à
chaud : prend acte de lintégration des remarques unanimes des OS sur la
semaine à 4,5 jours. Bons développement sur le forfait, mais la surprise vient
dune proposition sur des niveaux demplois complets.
SUDCAM : surpris de
lentrée en matière : lextension du forfait jour nest pas liée
au maintien ou non du 1er point. Cest une façon maladroite de
vendre la soupe. SUDCAM a dit lors de la dernière séance de négo que la négociation
sur le temps de travail ne se limitait pas à ces 2 sujets. Le forfait est un
cheval de bataille auquel vous êtes très attaché (déjà lors du projet précédent).
Le forfait nest pas
recevable à notre niveau pour plusieurs raisons :
ü
Quelles
contreparties : 4 les dépassements horaires si lon prend le dernier
projet.
ü
On
va imposer des horaires de travail dembauche
ü
Façon
de masquer les dépassements dhoraire.
ü
Sil
y a autonomie, maîtrise, elle doit se traduire par le salaire.
ü
Sil
y a volonté de sadapter aux nouvelles habitudes clients, il ne faut pas
oublier que celles-ci ont été induites par la mise en place des agences
automatisées. Une étude parue en avril 2008 montre que la fréquentation des
agences est en baisse de 10 % dans les agences automatisées, mais en hausse
dautant dans les agences traditionnelles.
CGT : vient compléter
ce qui vient dêtre dit. Les salariés BENEFICIAIRES ne maitrisent pas leur
activité, puisque leur planning est rempli par dautres.
FO : approche pas très
diplomatique. Les populations visées sont en classe II. Si elles sont éligibles
au forfait, passez-les en classe III. Reconnaitre les attributions et maintenir
en classe II, cest ne pas reconnaitre le travail de ces salariés. Approche
tendancieuse.
SNECA : des
propositions ont été faites, mais avec des limites : salariés
volontaires, assurant lanimation des équipes. La proposition telle quelle
a été faite nest pas satisfaisante.
UNSA : la
contrepartie doit être réellement significative. Concernant lautonomie, les
RDV sont pris par les plateformes téléphoniques.
CFDT : demande de
faire une étude réelle par rapport aux métiers des classes F et G. Réitérera
les propositions faites par le passé. Redéfinir le forfait jour, les durées
maximum de travail à la semaine. Il faut un changement de culture : on ne
peut admettre que quelquun qui travail tard le soir, soit obligé de venir tôt
le lendemain. Vous navez pas intérêt à bousculer laccord. Na
toujours pas compris pourquoi une extension aussi large. Souhaiterait ne pas
sortir de la structure de laccord actuel. Il nest pas question que la
branche CA sengage dans un système où le forfait puisse sétendre à
tous.
SUDCAM : il y a dans
certaines CR des négociations sur le semaine à 4,5 jours, en supprimant des
jours RTT. Il est inadmissible de constater une telle précipitation, alors que
tout le monde sait quune négociation sur le temps de travail est imminente.
Il faut arrêter de mettre en place des choses à la va vite dans les CR, qui
peuvent être moins favorables que le futur accord. Ce procédé a le don dhérisser
le poil ». il faut des engagements suffisamment structurants pour éviter
que chacun fasse ce qui lui plait.
CGT : les salariés
de niveau II nont pas à être soumis au forfait. Ils doivent être en catégorie
III. Cest une position constructive et non dogmatique.
FO : un domaine a été
occulté : aspect conditions de travail. Lextension du forfait va-t-elle
améliorer les conditions de travail de ces salariés ? Ce sujet est hyper
sensible auprès des salariés. Les compétences doivent être reconnues sur la
grille de classification.
Mr CHERAMY : points
de cadrage :
ü
Nest pas sur une position dogmatique
ü
Marchandage entre 4,5 jours et forfait. Souhaite retenir quil
na pas cherché à revenir sur ce sujet. A entendu que ce sujet nétait
pas à lordre du jour.
ü
Il ny a pas de degré durgence sur ce sujet. A entendu un
certain nombre de propositions : distinguer les métiers
Il faut poser
davantage la réflexion de fonds. Se repose la question de la façon de procéder.
Le travail demandé est extrêmement difficile. A entendu les remarques et
propositions.
ü
Précise un point sur la présentation : certaines
populations pouvant bénéficier du forfait jour ne le pratiquent pas (environ
40 %). Il paraitrait important dassocier la dimension de branche et la
dimension locale.
CFDT : la réponse
du rapporteur semble sincère. Celle-ci va bien à la CFDT. Il faudrait peut-être
une réunion technique pour définir les choses.
SUDCAM : nous rappelons
les termes utilisés : nous navons pas accusé qui que ce doit de
chantage. Nous souhaitons un accord suffisamment structurant pour répondre à
60 ou 70 % des besoins des CR. Les accords locaux permettront de répondre aux
spécificités des CR ou viendront en bonification de laccord national.
Mr CHERAMY : il faut
poser les choses et prendre le temps. Ce sont des travaux de fonds qui nécessitent
du temps si on veut bien faire.
V
DIALOGUE SOCIAL :
Mr CHERAMY :
plusieurs de points ont été évoqués lors de la dernière séance. Concernant
le statut des permanents, une réunion peut être organisée le 29 septembre.
Quota de jours articles 5 :
le niveau de la demande est ambitieux. Propose une attribution de 30 jours supplémentaires.
Il est tenu compte denviron 10 jours de réunion par an, à raison de 3 délégués.
Il faudrait voir comment allouer
ces jours (travaux de fonds
)
Moyens dinformation : il
a été proposé laccès à tous aux accords. Opérationnel aujourdhui via
le site internet. Il faut créer un compte utilisateur (site crédit agricole
info).
Les convocations, les ordres du
jour, les documents présentés pourraient figurer sue cet espace.
Espace spécifique (e room)
permet la constitution dune bibliothèque (travaux en cours). Permet un échange
de documents et une simplification des accès.
CFTC : 2 accès par
OS, à revoir.
Les accords mis en ligne ne sont
pas ceux qui sont signés : à revoir
Note lattribution de 30 jours
supplémentaires. Demande de revoir le plafond de 25 jours (réponse FNCA :
non).
CGT : les 30 jours supplémentaires
sont peut-être déjà récupérés avec la loi sur la représentativité. Il
faut des moyens financiers.
Pour les OS non représentatives
dans les CR, la distribution des tracts est interdite. Souhaite que les mêmes
droits pour toutes les OS soient respectés.
SUDCAM : demande de
motiver le pourquoi du maintien des 25 jours. Nous étions demandeurs pour faire
sauter ce plafond, trop juste à laccomplissement de certaines fonctions
indispensables aux syndicats. Le but nétant pas de mettre en place
dautres permanents.
UNSA : il faudrait
que les OS puissent disposer comme elles lentendent des 30 jours supplémentaires,
avec possibilité de faire sauter le plafond des 25 jours.
CGT : les moyens
doivent aussi être donnés aux IRP dans les CR, qui ont des territoires de
plusieurs départements.
CFDT : pourrait
demander une autre répartition des 30 jours, mais ne le fera. Il faudra revoir
le droit syndical dans les CR : un RSS a le droit de communiquer. Dans
certaines CR, aucune communication nest possible. Il faut revenir sur ce
sujet.
Mr CHERAMY : les
demandes concernent le niveau national et non le niveau régional.
Concernant les distances, on
peut regarder les situations spécifiques : certaines contraintes sont vérifiables,
mais les situations spécifiques ne doivent pas devenir la majorité. Ce sujet
sera revu. Il faut sans doute structurer certaines règles. Prend acte de ce
point.
VI
RESTRUCTURATIONS ET REGROUPEMENTS DE MOYENS :
Mr CHERAMY : le
choix a été fait de se concentrer sur un point : la définition des coopérations.
Toutes nont pas le même
impact. Définition proposée : la coopération est laction de
participer à une uvre commune. Il y a coopération lorsquil y a mise en
commun de moyens ou regroupements de moyens nécessitant un transfert de salariés,
soit dune CR vers une autre, soit au sein dun GIE, créé à cet effet ou
ayant un impact dans lemploi des salariés.
Exclus du champ, toute coopération
entre CR ayant pour objet une coopération pratique, une expertise
ayant peu
ou pas dimpact sur les salariés.
FO : le critère de
délocalisation semble un peu trop extrême. Les critères amenant des
suppressions demploi, ou nécessitant des reclassements de personnes, sont à
prendre en compte. Même sans délocalisation, limpact de changement de métier
est à prendre en compte.
CFDT : ce point est
important. Il ne sagit pas dun simple toilettage. Au vue de lexpérience
de la Bretagne, les pratiques pourraient être intéressantes à analyser. Il
faut établir des standards.
Fin des négociations
à 17 H les points restants
sont reportés
VII GESTION DES RESSOURCES
HUMAINES TOUT AU LONG DE LA VIE PROFESSSIONNELLE :
VIII AMENAGEMENT DES FINS DE
CARRIERE :